Lancement de la nouvelle édition du livre « Les sacrifiés de la bonne entente, histoire des francophones du Pontiac », le 20 novembre à la Maison Culturelle George Bryson
Lancement de la nouvelle édition du livre « Les sacrifiés de la bonne entente, histoire des francophones du Pontiac », le 20 novembre à la Maison Culturelle George Bryson
La Société Pièce sur pièce, en collaboration avec L’Action nationale éditeur, a annoncé le lancement de la nouvelle édition du livre « Les sacrifiés de la bonne entente, histoire des francophones du Pontiac ». Cette mise à jour de l’ouvrage est augmentée de nombreuses photographies et permet, selon l’éditeur, d’enrichir la mémoire collective québécoise et de ramener à l’avant-scène la situation des francophones dans le Pontiac.
Le livre, comptant 306 pages, sera vendu au coût de 25 $. Il sera disponible dans plusieurs librairies de l’Outaouais, ainsi qu’en ligne sur le site de L’Action nationale. (La liste des librairies tenant le livre sera disponible aussi sur le web après le 19 novembre : http://piecesurpiece.ca/publications.html)
Le lancement à Gatineau aura lieu le samedi 19 novembre, à 15 h, à la Taverne Montcalm, au 225, rue Montcalm, à Gatineau (stationnement disponible sur la rue Lois).
Le lancement à Mansfield-et-Pontefract aura lieu le dimanche 20 novembre, à 13 h 30, à la Maison Culturelle George Bryson, 314, route 148, Mansfield-et-Pontefract.
Les personnes qui veulent y assister peuvent confirmer leur présence par courriel : info@piecesurpiece.ca, au plus tard le jeudi 17 novembre.
Les organisateurs ont mentionné qu’il y aura aussi un lancement à Montréal le 24 novembre.
À propos du livre, l’éditrice a publié la postface de Charles Castonguay.
« Les sacrifiés de la bonne entente, histoire des francophones du Pontiac », l’éditeur a mentionné ceci : « D’abord colonisé par des Irlandais et des Écossais, le Pontiac, région isolée au nord de la rivière des Outaouais, voit les francophones, attirés par l’industrie forestière, s’y installer progressivement et devenir majoritaires au XXe siècle. L’école et l’Église, gérées localement par des commissaires et évêques anglophones, seront les instruments de l’anglicisation de plusieurs générations, dont les ravages perdurent jusqu’à aujourd’hui. » – Charles Castonguay
L’éditrice de ce nouvel ouvrage, Manon Leroux, a entre autres publié dans le passé, « L’autre Outaouais », qualifié d’un outil essentiel pour qui s’intéresse à l’histoire et à l’identité de la région, et offre des clés utiles pour la comprendre. Manon Leroux a d’ailleurs participé à une étude de mise en valeur du patrimoine religieux du Pontiac en 2005 pour le Centre local de développement (CLD) du Pontiac.