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GDG Environnement discute avec CHIP 101,9 sur l’efficacité du traitement contre les insectes piqueurs en 2022

GDG Environnement discute avec CHIP 101,9 sur l’efficacité du traitement contre les insectes piqueurs en 2022

1 juin 2022 à 12:00 am

Mise à jour le 13 septembre 2022 à 3:48 pm

Le porte-parole de l’entreprise GDG Environnement, Richard Vadeboncoeur, a accordé une entrevue à CHIP 101,9 où il a expliqué les raisons qui, à son avis, font que le printemps 2022 a été plus difficile concernant la présence d’insectes piqueurs pour les résidents de Fort-Coulonge et de Mansfield.

« Ah oui ! Écoutez, quand on travaille avec la météo et la nature, il n’y a rien de bétonné, donc il y a beaucoup de variabilité. Les conditions étaient bonnes cette année au printemps. Pas pour nous, mais pour les moustiques, les conditions étaient favorables. Il faut quand même voir que, l’an passé, on s’en est bien tiré. C’était assez sèche. Il faut savoir qu’il reste toujours des moustiques ; c’est du contrôle biologique rappelons-le. Il va toujours rester un certain pourcentage. Les moustiques de l’an passé ont déposé leurs œufs, et, même les moustiques des années précédentes, c’est normal qu’ils demeurent des œufs non éclos qui peuvent rester en dormance comme ça pendant 7-8 ans. Et, quand arrivent des niveaux adéquats ou des conditions d’humidité, alors donc, des conditions favorables à leur développement, bien là, il peut y avoir un “peak”, si vous voulez, de développement, donc une éclosion plus importante. »
– Richard Vadeboncoeur de l’entreprise GDG Environnement

Malgré les différentes raisons qu’il a évoquées, il a mentionné ne pas vouloir se cacher derrière des « défaites ». À son avis, le temps sec durant l’été pourrait aider à voir le nombre d’insectes piqueurs diminuer et il a assuré que GDG Environnement s’engageait à faire un suivi rigoureux.

« Une année qu’il y en a peu, bien tu baisses de 80 % et il y en avait seulement 10, bien il va en rester 2. Donc, c’est la différence entre une année où c’est très prolifique et une année où c’est plus tranquille. Le plan de match a été suivi, on va avoir les mêmes résultats. Donc, c’est toujours du 80-90 %. Cependant, la portion résiduelle est plus importante, donc on comprend et on compatit avec les gens. On ne tente pas de se trouver des excuses. On fait tout pour améliorer le service d’année en année. Et, quand les conditions sont favorables au développement des moustiques, malheureusement, peu importe nos interventions, il reste une partie de la naissance qui demeure présente pour quelques semaines au printemps. »
– Richard Vadeboncoeur de l’entreprise GDG Environnement

GDG Environnement a aussi indiqué que les insectes se reproduisent plus facilement dans les milieux humides, l’entreprise invite donc la population à vider tout objet qui accumule de l’eau, comme des poubelles, des gouttières, des pneus ou encore des canots.

L’entrevue complète avec Richard Vadeboncoeur de l’entreprise GDG Environnement, est disponible ici.