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Les candidates du Parti Québécois en Outaouais se joignent à la Marche pour la justice climatique

Les candidates du Parti Québécois en Outaouais se joignent à la Marche pour la justice climatique

23 septembre 2022 à 12:00

Mise à jour le 18 novembre 2022 à 4:46

L’ensemble des candidats du Parti Québécois en Outaouais se sont joints à la Marche pour la justice climatique et en ont profité pour mettre de l’avant les enjeux environnementaux de la région et les engagements de leur parti pour prendre part à la lutte aux changements climatiques. La candidate dans Pontiac, Jolaine Paradis-Chateauneuf, en a profité pour discuter du projet d’entrepôt des déchets nucléaires à Chalk River.

« L’Outaouais est aux prises avec nombre d’enjeux environnementaux qui nécessitent une volonté d’action politique pour y remédier. C’est pourquoi le Parti Québécois s’engage à mettre en place d’importantes mesures phares dont plusieurs ont été saluées par des experts dans le domaine », peut-on lire dans ce communiqué du PQ.

La candidate du Parti Québécois dans Pontiac, Jolaine Paradis-Chateauneuf, a mentionné que les ressources d’eau potable sont précieuses et qu’elles doivent être préservées de manière à garantir à tous le droit à une eau de qualité. « C’est pourquoi il ne fait aucun doute pour la candidate que l’enfouissement de déchets nucléaires à Chalk River à moins de 1 km des berges de la rivière des Outaouais ne doit absolument pas se concrétiser. Il n’est pas question que la source d’eau potable de milliers de Québécois.es devienne le dépotoir nucléaire de l’Ontario et du Canada », a affirmé Jolaine Paradis-Châteauneuf.

Pour sa part, la candidate dans Hull, Camille Pellerin-Forget, a tenu à préciser que « Pour atteindre l’objectif du Parti Québécois, soit de diminuer les GES de 45 % d’ici 2030, il faut que tout le Québec se mette en mode transport en commun. Pour y arriver, il faut créer de nouvelles habitudes chez les citoyens.nes et cela se concrétisera en aidant les municipalités, dont Gatineau, à bonifier leur offre de transport collectif et en soutenant les sociétés de transport qui ont été éprouvées par la pandémie et dont l’électrification de leur flotte nécessite des investissements majeurs en infrastructure. En 2015, le transport était responsable de 25 % des GES de la ville de Gatineau. Sans virage pour un transport collectif structurant, personne ne pourra atteindre ses cibles de réduction de GES » a rappelé la candidate.